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Roger Kom

Afro Beat, Jazz, et World

Roger Kom participe à la grandeur de l’afro beat depuis son plus jeune âge.Musicien multi-instrumentiste,on le retrouve au saxophone,son instrument de prédilection aux côtés de Manu Dibango alors qu’il n’a pas 20ans.c’est à cette époque que Tony Allen fait sa connaissance lors de la première tournée au Cameroun de L’AFRICA 70 de Fela Kuti.Plus tard à Paris il rejoint le groupe GHETTO BLASTER de Kiala Nzavoutounga constitué d’ex musiciens de Fela Kuti ensuite il intègre le groupe de Tony Allen dans lequel celui ci l’encourage a monter son propre groupe. Roger Kom a posé son saxophone sur un grand nombre d’albums tel « Preacher man » du groupe GHETTO BLASTER de « Afro beat express » de son mentor Tony Allen Son trombone dans « The Lion » de Youssou Ndour. Roger Kom c’est l’afro beat cuisiné à la sauce « Ben Skin »un rythme hérité du mangambeu, un folklore populaire du pays bamiléké de l’ouest du Cameroun. Les compositions de Roger Kom donnent place importante à la sanza(instrument traditionnel africain) mais aussi au violon qui apporte une sonorité particulière aux cuivres qui jouent un rôle important dans l’afro beat. Il écrit en pijin, la langue de l’afro beat, créole mélangeant les langues locales aux langues coloniales. L’album « Condré Tok »(langue maternelle) aborde un thème que l’on retrouve tout au long de l’album, connaître d’ou l’on vient pour savoir ou on va. L’éducation qui apprend à relever la tête malgré les coups que la vie nous assène « Up Down ». L’éducation sous la forme de la fraternité et de l’amour « Koungne ».L’interrogation sur l’exode dû aux guerres et à l’instabilité « 2002 ». Comme en afro beat on n’est jamais seul, Tony Allen nous fait l’honneur de sa présence dans l’album « Condré Tok » sur les titres « Inono » « Live is just a party » et «  Big Mop ». Egalement Kiala Nzavoutonga et Franky Ntoh Song tous les deux du groupe GHETTO BLASTER sur le titre «  Na Waya ».

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